La semaine dernière a eu lieu la 3ème édition du JUG Summer Camp.
Cette année, la keynote d’ouverture a été faite par Nicolas De Loof qui a réalisé seul un épisode « Les guignols des castcodeurs » : une prestation impressionnante car il était seul à faire tous les personnages. Un bon moment de rigolade pour les habitués du podcast car tous les ingrédients étaient réunis pour en faire une belle caricature.
Dans le magasin Google, une grande variété de bonbons est disponible pour le développeur. C’est ainsi qu’Alexis nous a présenté les solutions qu’offrait Google aux développeurs. Parmi elles, on peut noter :
Lors de cette session, Romain nous a présenté Node.js et son écosystème. Non bloquant c’est-à-dire totalement asynchrone et orienté évènement, Node.js permet de développer autant la partie client que la partie serveur. En quelques années, une communauté importante s’est constituée autour de cet outil. Le NPM (Node Packaged Module) centralise tous les projets Node.js, les présente et permet d’évaluer leur niveau de maturité et de stabilité. Node.js est maintenant stable pour Windows depuis les dernières versions. De plus en plus de sociétés utillisent Node.js, par exemple LinkedIn, Mozilla, Ebay, Klout, Yammer et Capitaine Train. La documentation assez fournie et une communauté active donnent envie d’essayer et de l’adopter. Vous pouvez retrouver les slides de la présentation sur slideshare.
La petite nouveauté de cette année a été l’ajout de quickies un peu avant et après le déjeuner. Probablement, pour alléger la bande passante au buffet.
Ce sujet aurait pu être un nid à trolls et au final il y en a eu quelques uns mais rien de très méchant. Christophe nous a présenté les raisons qui l’ont poussé à se mettre au Javascript. Entre Flex et Silverlight pour qui l’avenir semble morose, HTML5 est le buzzword du moment qui rassure les chefs et est multi-écrans. Comme beaucoup de développeurs Java, on a tendance à penser aux performances, à la maintenance du code. Des critères auxquels Javascript ne répondait pas vraiment à une époque. Mais cette époque est révolue, de gros progrès ont été réalisés en terme de performance et la compilation à la volée facilite le travail. La maintenance du code devient moins éprouvante avec la possibilité de définir des modules. Et en plus ce langage est déployable sur n’importe quel plateforme, « Write once run everywhere » cela ne vous rappelle rien ? En terme d’industrialisation, il y a des outils pour les tests (QUnit, Phantom JS) ou les audits. Mais attention Javascript n’est pas Java et il y a quelques petites choses à savoir pour développer correctement comme la coercition de type, les notions de scope et la création d’objet. Pour conclure ce quicky, Christophe nous explique que Javascript est parfaitement mûr pour l’entreprise. Il ne vous reste donc plus qu’une chose à faire : l’apprendre.
Après les quickies, un bon déjeuner bien mérité pour reprendre des forces et pouvoir apprécier les conférences de l’aprés-midi.
Cette année encore le JUG Summer Camp a mérité son titre dans la catégorie buffet. Le déjeuner assis, c’est aussi l’occasion de se retrouver pour discuter longuement des sessions et des nouveautés technique et faire de nouvelles rencontres autour de la table.
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